
«En tant qu’anesthésiste, je pourrais trouver un bon job en France, où vivent mes deux frères, mais mon devoir est ici. C’est en Syrie que je peux agir le plus utilement», déclare Maissam Hamoui, 34 ans. Maissam vit avec sa mère et sa soeur dans l’une des villes du pays les plus durement éprouvées par la guerre. Celle-ci est inscrite dans le quotidien de la famille depuis plus de quatre ans.